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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 23:26

Microsoft a annoncé mercredi avoir vendu plus de 8 millions d'exemplaires de son système de jeu à capture de mouvements Kinect dans le monde deux mois après son lancement, dépassant largement ses objectifs affichés.

Le premier éditeur mondial de logiciels s'était fixé pour but d'en écouler cinq millions à l'issue de la période des fêtes de fin d'année.

L'appareil, qui se raccorde à la console Xbox de Microsoft, permet aux joueurs de contrôler ce qui se passe à l'écran par des mouvements du corps et des commandes vocales, sans passer par une manette de jeu.

Au même stade de commercialisation, le groupe de Redmond fait mieux que Sony et sa Move, manette à détection de mouvements reliée à la Playstation.

Lancée deux mois plus tôt que la Kinect, la Move s'était vendue à 4,1 millions d'exemplaires après un délai similaire, chiffres qui ne prennent donc pas en compte le mois de décembre, particulièrement porteur pour le secteur et dont le système de Microsoft a profité à plein.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 01:05
Mark Zuckerberg est né le 14 mai 1984 à White Plains au sein d'une famille juive américaine1 (il se considère cependant athée2) dont le père est dentiste et la mère psychiatre et dont le frère, Ethan Zuckerberg, est toujours étudiant à l'université Harvard. Il a aussi trois sœurs.Il commence
à programmer durant ses années d'études au collège et développe des programmes informatiques, spécialement des outils de communication et des jeux. Il est notamment le concepteur de Synapse, un lecteur de musique combiné à une IA (Intelligence Artificielle) permettant de s'adapter aux goûts de l'utilisateur. Microsoft et AOL essaient de racheter Synapse, mais Zuckerberg décide d'en laisser l'accès gratuitement sur Internet et de rejoindre l'université d'Harvard.Mark Zuckerberg en 2008 Mark et Robert Scoble en 2008La première version de Facebook est lancée le 4 février 2004 avec l'aide de Dustin Moskovitz, Eduardo Saverin et Chris Hughes3. Le succès est immédiat auprès des autres élèves de l'université. L’accès est graduellement autorisé à d'autres universités (principalement de l'Ivy League), puis aux écoles du secondaire, et enfin au grand public. Le succès est partout au rendez vous.Cependant, des étudiants de Harvard (Cameron Winklevoss, Tyler Winklevoss, et Divya Narendra) attaquent Facebook un mois après son lancement. En effet, ils avaient commencé depuis plusieurs mois à développer un site de réseau social intitulé « Harvardconnection ». En octobre 2003, ils avaient associé Zuckerberg à leur projet, avec pour mission de finir le code du site et de le rendre fonctionnel. Zuckerberg, lié par un "accord verbal" et dès lors considéré comme un associé du site, en profita pour développer de son coté en quelques semaines le site The Facebook, sans travailler sur le projet commun comme prévu. Un procès lui fut intenté dès mars 2004, annulé pour raisons techniques en mars 2007. Une nouvelle plainte fut déposée et la procédure fit l'objet d'un accord à l'amiable entre les différentes parties : le 25 juin 2008, Facebook accepta d'octroyer 1,2 million d'actions et de payer 20 millions de dollars en cash4. Facebook est le deuxième site le plus visité au monde derrière Google5. Mark Zuckerberg possède 24 % des parts de sa société.Selon le Wall Street Journal, en mai 2009, un investisseur russe aurait proposé 200 millions de dollars afin de porter le capital de l'entreprise à 10 milliards de dollars à condition de disposer d'un siège au conseil d'administration. Mark Zuckerberg aurait refusé car il déclare n'être ouvert qu'à des propositions qui offriront davantage de latitude à son réseau social.D'après le classement Forbes 2010 des plus grosses fortunes de la planète, la fortune de Mark Zuckerberg est estimée à 6,9 milliards de dollars. Il détenait à 23 ans le titre du plus jeune milliardaire de la planète6.Il figure au 52e rang du classement 2008 des personnalités les plus influentes du monde dressé par le magazine Time.En avril 2010, il s'est montré très critique vis-à-vis du réseau social Twitter en disant : « Le flux est éphémère. On poste quelque chose dans le flux, il y restera quelques heures, un certain nombre de gens pourront le lire, puis pour ainsi dire il disparaît. Quant aux services qui consomment ce flux, ils n’établissent pas réellement de connexion entre vous et, ils ne comprennent pas réellement la relation sémantique qui existe entre vous et la connexion que vous avez établie. »7Film, biographie [modifier]Article détaillé : The Social Network.En octobre 2010, Mark Zuckerberg est incarné à l'écran par l'acteur Jesse Eisenberg, sous la direction du réalisateur David Fincher dans le film The Social Network, narrant l'histoire de la naissance de Facebook. Il évolue à l'écran notamment aux côtés de l'acteur Justin Timberlake, incarnant pour sa part le fondateur du site Napster, Sean Parker. Le film est produit entre autres par Kevin Spacey.Zuckerberg a émis dans les médias américains un avis sur cette œuvre cinématographique. Il a notamment indiqué "que ça serait fun de se rappeler que cette époque de sa vie ait pu aboutir sur un film"8.Il est à noter que le film est le prolongement d'une biographie écrite, La revanche d'un solitaire, la véritable histoire de Facebook (aux Éditions Max Milo, écrite par Ben Mezrich). Cette biographie a été publiée en janvier 20109.
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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 22:12

Véritable space opera capable de renvoyer dans les cordes la plupart des productions de SF de ces dernières années, Mass Effect a laissé un souvenir indélébile à quantité de joueurs. Le second opus de cette trilogie compte bien secouer les plumes des fans, quitte à les déstabiliser.

Mass Effect 2

Normalement, lorsqu'on cherche à démarrer le test d'un jeu comme Mass Effect, il est d'usage d'en planter le décor, de faire le pitch comme on dit. Or, deux problèmes se posent : d'une part, l'éditeur et le développeur tiennent expressément à ce que certains détails restent secrets, d'autre part, la simple bonne volonté empêche votre serviteur de vous parler ne serait-ce que des premières minutes du jeu. Et c'est bien dommage parce que si on ne devait conserver qu'une seule qualité à Mass Effect 2, ce serait son scénario, sa narration. Si on évite les spoilers, disons que ce second volet se déroule un certain temps après le premier, Sovereign est mort et enterré, mais la menace représentée par les Moissonneurs n'en n'est pas moins réelle, même si en dehors de Shepard, peu de personnes acceptent d'y croire. Sans rien dévoiler, sachez que chez Bioware, on considère que ce second volet est l'équivalent de l'Empire Contre-Attaque de la trilogie Star Wars. A savoir : un épisode plus sombre, plus violent, carrément pessimiste. La richesse et la cohérence de l'univers qui avaient fortement séduit dans le premier Mass Effect nous happent de nouveau dans cette traversée de la galaxie, mais clairement, à côté de sa suite, le premier opus ressemble à une croisière Disney.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 145La nouvelle fiche de personnage est allégée par rapport au premier épisode.

Cette noirceur, on la retrouve à tous les niveaux. Les lieux visités par exemple seront bien plus sombres, voire glauques, station pénitentiaire, colonies dévastées par les mystérieux Récolteurs, clubs louches, planète décharge ou pulvérisée etc. Mais ce sont essentiellement les dialogues qui témoignent de ce changement de ton. Si vous êtes en pleine lecture de ce test, c'est que vous connaissez déjà le système de dialogue simplement génial de Mass Effect. Ici, il gagne encore en sublime par une qualité d'écriture exceptionnelle, une mise en scène encore plus travaillée, des plans de caméra judicieux et un éclairage soigné. En gros, l'aspect cinématique interactive se montre de plus en plus immersif. Mais on note surtout un changement de ton, avec des dialogues plus crus, des choix parfois nettement plus corsés, aux implications quelquefois très lourdes. Ce qui n'empêche pas une certaine légèreté qui prêtera fréquemment à sourire, voire à se marrer.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 146Les interruptions s'affichent brièvement à l'écran et font basculer une situation.

En outre, Bioware a intégré une petite nouveauté dans ces séquences : l'interruption. Au cours de certains dialogues, une icône apparaît durant quelques secondes soit à gauche, soit à droite de l'écran, l'une correspondant à une action audacieuse, l'autre héroïque. Si on appuie sur la bonne touche au bon moment, Shepard change d'attitude. Un garde vous pose des problèmes pour vous laisser entrer dans une pièce, si vous trouvez que la négociation traîne, il suffit de ne pas louper l'occasion qui vous est donnée de le pousser à travers la baie vitrée. En sortant du bureau de recrutement des mercenaires, vous croisez un gamin, l'icône d'héroïsme apparaît brièvement, si vous êtes vif, vous le persuaderez de réfléchir à sa décision. L'intégration est naturelle, l'effet excellent et en plus, ça vaut des points de pragmatisme ou de conciliation.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 147Si la pause active est toujours de mise, toutes vos actions peuvent être effectuées en temps réel.

Evidemment, l'apparition d'une interruption héroïque ou audacieuse dépend de votre alignement, de votre tendance à négocier ou à frapper. Et si vous avez conservé vos sauvegardes de Mass Effect, cette tendance sera l'héritage directe de votre ancien personnage. Aussi bien sur PC que sur Xbox 360, il est possible d'importer son ancien personnage. Une possibilité dont l'intérêt principal est de prendre en compte tous les choix que vous aviez effectués (sauver ou pas le conseil, tuer Wrex etc.). Réactions des autres personnages et possibilités de gameplay dépendront de tous ces choix. Et si vous n'avez plus de sauvegardes, un système de questions/réponses vous permettra de remédier au problème. Puis, il vous faudra vous mettre dans les pantoufles des classes du jeu. Au nombre de 6 elles vont de l'Adepte spécialisé dans les pouvoirs biotiques façon Jedi à l'Ingénieur capable de pirater l'IA ou de contrôler des drones jusqu'au Soldat amateur de gros flingues, chaque classe pouvant accéder à certains types d'armes ou pouvoirs. Des classes qui restent bien semblables à celles du premier jeu, on ne s'attardera pas trop dessus.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 148Certains environnements déchirent leur maman si je peux me permettre.

Le système de compétences mérite en revanche qu'on se penche sur son cas. Sacrément remodelé, il compte moins de branches qu'autrefois mais permet d'accéder à 7 aptitudes utilisables sur le terrain, chacune ayant 4 niveaux de puissance. Un arbre de compétence simplifié par rapport au premier épisode dans lequel, visiblement, certains joueurs peu coutumiers du RPG avaient tendance à patauger. Une orientation qui se ressent énormément dans le gameplay des missions principales et secondaires, essentiellement basées sur l'action. Entendons-nous bien, Mass Effect 2 offre toujours un univers riche, extrêmement vaste et varié, mais l'action y occupe une place prépondérante, au point que souvent, on a plus le sentiment de jouer à un shooter qu'à un jeu de rôle, un sentiment qui se dégageait déjà du premier opus mais qui se trouve accentué ici.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 149Les séances de scan, dans le genre fastidieux, c'est pas mal.

Dans la plupart des missions, une fois arrivé sur zone, on suivra un chemin assez contraignant renfermant une quantité plus que respectable d'ennemis, qu'ils soient Geths, mercenaires Krogan ou... disons autres. Du coup, le système de combat change lui aussi. Si la fameuse pause active, qui permet de geler l'action et d'assigner des ordres d'attaques aux deux équipiers qui nous accompagnent, est toujours là, le joueur peut attribuer ses compétences à des raccourcis. Un Adepte pourra donc sans problème utiliser ses pouvoirs biotiques en temps réel. On peut à présent ordonner à ses équipiers de se mettre à couvert sur une position précise et soi-même se protéger derrière un élément du décor. Les combats sont ainsi devenus particulièrement dynamiques, explosifs même. Avouons-le, certains n'y verront pas forcément un progrès. Toutefois, sous des dehors franchement bourrins, un joueur qui ne saurait user des complémentarités de ses équipiers, ou savoir quelle attaque pourra percer un bouclier ou un blindage n'ira pas loin. En gros, face aux adversaires les plus redoutables, point de survie sans un minimum de maîtrise de la pause active. Finalement, même si on reste un peu surpris par cette orientation, le résultat a son charme même si on regrette que les missions adoptent trop souvent un schéma similaire : arrivée, entrée et traversée de la zone de combat, objectif, sortie. Évidemment, certaines missions font exception mais côté quête principale, attendez-vous à du lourd. L'aspect RPG n'est néanmoins pas totalement mis de côté, pas plus que l'exploration et l'acharnement à remplir les quêtes annexes qui permettront d'accumuler les ressources et les informations. Seul moyen de développer les améliorations d'armes, d'armures ou du vaisseau. Des bonus qui remplacent en partie les anciens MODs et dont on aura sérieusement besoin.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 150Le piratage, incontournable et toujours un peu pénible, même s'il ne présente aucune difficulté.

Cette violence va de paire avec le ton plus noir du jeu sans doute. Et pour y faire face, il va vous falloir soigner vos rapports aux autres. On souligne au passage l'importance des dialogues et des notions de conciliation ou de pragmatisme permettant de séduire ou d'intimider ses interlocuteurs mais ce sont surtout les rapports avec les équipiers qui nous intéressent. Un point que Bioware a tenu à placer au centre du jeu. Une très grosse partie du titre, pour ne pas dire l'essentielle, sera consacrée à la constitution et au renforcement de votre équipe. Dont on n'a pas le droit de dire grand-chose soit-dit en passant. Dans un premier temps, il faudra donc parcourir la galaxie de planète en planète pour enquêter sur nos futurs acolytes, les sortir d'une situation souvent épineuse puis s'assurer de leur soutien. La plupart se joindront à vous pour des raisons personnelles, mais c'est de leur loyauté dont vous aurez besoin. Une fois recrutés, ils vous soumettront tous des problèmes personnels qui seront autant de missions périlleuses. Puis, des choix cornéliens vous seront posés lors de cinématiques interactives qui pourront vous faire perdre leur confiance. Mais même si vous vous contrefichez de leurs états d'âme, sachez qu'un allié Loyal, dispose de plus de compétences et que ses capacités se répercutent sur tout le groupe. En gros, avant de pouvoir envisager la suite du jeu, vous devrez d'abord réellement préparer votre équipe et pas simplement lancer un recrutement vite fait, si l'équipe n'est pas soudée, vous courez au désastre. Or, prendre parti pour l'un, agacera forcément l'autre. Puis, une fois tout ce beau monde boosté, bien remonté... vous serez prêt pour la fameuse mission suicide dont Bioware nous rabat les oreilles depuis des mois.

Test Mass Effect 2 PC - Screenshot 151Shepard va devoir fréquenter des lieux passablement louches.

Si le combat a pris une place importante dans le jeu, la narration, le scénario, l'univers, l'attachement aux personnages, le design sublime de certains environnements, l'ambiance ou encore l'immersion n'ont donc pas été laissés de côté. L'impossibilité de trop s'attarder sur certains aspects du jeu contraint un peu l'adoption d'un ton froid de catalogue dans ce test mais qu'on ne s'y trompe pas, une fois entré, sortir de ME 2 aura été difficile. Certes, le « tout combat ou presque » peut quelque peu décevoir, mais Mass Effect 2 a su conserver tout de ce qu'on a pu aimer dans le premier. En revanche, certains défauts ont la vie dure. A commencer par une multitude de quêtes annexes pas forcément passionnantes. Quantité de PNJ rencontrés dans les plus grandes villes vous confieront des missions secondaires mais d'autres se cachent dans l'exploration de planètes non répertoriées. Et là, on reste perplexe. En toute liberté, vous pouvez approcher une planète via la carte galactique puis, la scanner. En promenant un curseur sur la planète, vous la passez au crible, ce qui permet au pire de récolter des ressources, au mieux de trouver le point d'entrée d'une mission. Une option passablement rébarbative il faut le reconnaître. Enfin, autre détail qui fâche, en dépit d'une réalisation de haute volée, tant visuelle que sonore, Mass Effect 2 n'en a pas fini avec les bugs. Disparation de personnage durant dialogue, sursaut du modèle 3D et autres plantages de caméra se produisent à l'occasion, du moins sur les versions tests fournies. Rien de cauchemardesque, mais lorsqu'ils surviennent, ils plantent un peu l'ambiance.

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 22:06

 

Désormais seule franchise en mesure de concurrencer l'indéboulonnable Football Manager, LFP Manager tente cette année d'attirer un peu plus les puristes en proposant de nouveaux outils techniques. Un moyen peut-être de prouver qu'un LFP n'est pas qu'un simulateur de vie parfois un peu fantaisiste, mais un jeu de management tout à fait crédible.

LFP Manager 11

LFP Manager 11 ne renie en rien le passé récent de la série qui se démarque par des événements originaux venant rythmer la vie du coach virtuel que vous êtes. On retrouve cette année ces micro-décisions qui, à défaut d'influer réellement sur la progression, permettent de se sentir constamment au centre de la vie du club, même si l'on décide de confier la gestion sportive à l'IA. Une fois de plus, c'est donc la liberté qu'est donnée au joueur de paramétrer tout un tas d'aspects du jeu en les choisissant manuels ou automatiques qui est mise en avant. Il est quasi impossible de dénombrer précisément les actions qui ont cette souplesse mais de toute évidence, le degré de personnalisation atteint son paroxysme cette saison. Ainsi, vous pouvez enfiler une simple casquette d'entraîneur ou décider de tout gérer depuis votre bureau perso, des infrastructures du club à la gestion macro et micro-financière, en passant par l'organisation de sorties tout en faisant progresser votre personnalité. Apprentissage de langues, développement de la vie familiale, acquisition de divers objets décoratifs... Bref, autant de futilités que certains trouveront indispensables.

Test LFP Manager 11 PC - Screenshot 76Le moteur 3D n'est pas beaucoup évolué mais est sans doute le plus crédible sur le marché.

Mais LFP Manager se pare avec cet opus 2011 d'une dimension tactique jusqu'à présent presque inexistante. S'il fut limité dans ses choix par une interface datée, l'utilisateur dispose désormais d'un écran en full screen entièrement dédié à l'évolution personnalisée et collective de ses joueurs et de son équipe. S'inspirant de modèles tels que Football Manager ou à un degré moindre L'Entraîneur, il permet donc de créer autant de profils qu'il existe de postes en influant sur le placement, les courses offensives et défensives ou encore la mentalité. Ainsi, vous pouvez demander à n'importe quel joueur de se positionner en électron libre, de décrocher, de monter sur les coups de pied arrêtés, d'appuyer ses tacles, de tirer ou de centrer plus souvent... Les consignes collectives ont également explosé et selon votre philosophie de jeu, il vous est possible de décider précisément de la façon dont vont évoluer vos poulains : longueur des passes, hauteur de la ligne défensive, intensité du pressing, variation des centres et des coups de pied arrêtés, orientation du jeu... Vous pouvez même, avant une rencontre, la qualifier de match-clé pour mettre un peu de pression sur vos joueurs et espérer les voir se surpasser. Cela va de paire avec l'importance que donnent désormais les médias aux derbys, en titrant sur l'importance de ces rendez-vous. Il vous incombe alors de choisir une prime de match adéquate afin de faire fonctionner la carotte.

Test LFP Manager 11 PC - Screenshot 77Comme d'habitude, vous pouvez créer votre club et le faire grimper les échelons un à un.

Acheter ou vendre un joueur a toujours été un jeu d'enfant dans LFP Manager. Sans devenir du jour au lendemain hyper réaliste, le système de transferts a été revu de sorte à coller davantage à ce qu'il se fait dans la réalité, notamment grâce aux nombreuses clauses et aux bonus ajustables dans la rédaction du contrat. Autre exemple, la présence d'un agent vous contraint à lui verser un pourcentage sur la vente de votre joueur. Mais cela ne s'arrête pas là. Le fait de contacter un club dans l'objectif d'acheter l'un de ses joueurs éveillera l'intérêt d'autres équipes, de quoi faire monter les enchères assez rapidement. A l'inverse, il est tout à fait probable que plusieurs clubs se disputent la signature de l'une de vos stars et dans ce cas, attention à bien gérer la situation si vous ne souhaitez pas déstabiliser le joueur en question ! Désormais, les protagonistes sont en effet plus facilement atteints moralement par des discussions qui s'éternisent ou par une déclaration que vous pourriez faire quant au probable recrutement d'un joueur occupant le même poste. Les journaux (L'Equipe pour la France) ne sont d'ailleurs pas les derniers pour faire la une sur de simples rumeurs comme ils le font parfaitement bien dans la réalité.

Test LFP Manager 11 PC - Screenshot 78Le nouvel écran tactique est vraiment bien fichu et apporte de la profondeur technique à LFP.

Les défauts qui sont ceux de la série depuis des années n'ont en revanche toujours pas disparu. Tout au long de notre progression et en dépit des multiples tâches quotidiennes dont il est facile de s'encombrer, le comportement sportif de l'équipe ne semble répondre à aucune logique. La gestion, qu'elle soit sportive ou financière, n'a pour ainsi dire jamais vraiment l'effet escompté au point qu'appuyer sur le bouton continuer peut être tout aussi utile que s'acharner à construire quelque chose de solide. Dans notre partie, en optant pour un niveau de difficulté médian, nous n'avons eu aucun mal à être promus dès notre première saison en créant un club dans une division inférieure régionale. Malgré une interface qui vous rappelle régulièrement qu'il faut dialoguer un maximum avec votre effectif ou veiller à ce que la cohésion ne quitte jamais le groupe, on constate rapidement qu'en boudant ces conseils, les résultats sportifs ne sont jamais affectés. Ce manque de réalisme touche l'ensemble du jeu qu'on ne peut pas considérer comme un titre entièrement crédible malgré un background accrocheur. Les photos des joueurs, l'interface façon L'équipe.fr ne suffisent pas à détourner l'attention du joueur d'une base de données incomplète ou de résultats farfelus comme la victoire de la Slovénie à la Coupe du Monde.

Test LFP Manager 11 PC - Screenshot 79Une multitude d'événements plus ou moins importants rythment votre vie d'entraîneur.

C'est l'une des nouveautés de cet opus, vous pouvez, sans même commencer une carrière de sélectionneur, participer directement à la Coupe du Monde 2010. La compétition est entièrement licenciée aux couleurs de l'évènement sud-africain, comme on a pu le voir chez EA avec Coupe du Monde de la FIFA : Afrique du Sud 2010. A vous de choisir ensuite entre les groupes officiels ou une toute nouvelle compétition. Évidemment, vous pouvez composer votre groupe de 23 joueurs à votre guise avant de vous lancer dans la quête du trophée ultime. Mais là encore, on note un vrai manque de rigueur de la part des développeurs, ne serait-ce qu'au niveau des dates qui ne respectent même pas le calendrier officiel. Notez également que le mode Online a connu un sérieux lifting qui prouve qu'EA compte accentuer son importance après l'avoir introduit l'année dernière. Il offre ainsi une mise à jour régulière des effectifs grâce à la Saison Live, reprise chez le cousin FIFA. Mais surtout, les matches en ligne accueillent un système de cartes "Éléments Actions" qui boostent votre équipe Online, un peu à la manière d'Ultimate Team. En les utilisant, vous pouvez ainsi gonfler votre budget ou améliorer la performance de vos joueurs sur une rencontre donnée. Cela confère aux rencontres en ligne un côté assez aléatoire pour le moins déstabilisant qui pourra plaire à certains mais beaucoup moins aux fans du genre !

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 14:36

 


Naruto Shippuden Ultimate Ninja Storm 2 Packshot
12+ViolenceLangage grossierPEGI OnlinePlayStation®3

 

 

Date de sortie: 15 Octobre 2010

Éditeur: NAMCO BANDAI Games Europe S.A.S.

Développeur: CyberConnect2

Genre:
Beat'em up
Joueurs:
1 - 2
Type de support:
Blu-ray Disc
Jeu en réseau:
Compatible avec le jeu en réseau
Résolution HD:
720p
Son:
Dolby 5.1

© 2002 MASASHI KISHIMOTO / 2007 SHIPPUDEN All rights reserved. Game © 2010 NAMCO BANDAI Games Inc.

Naruto Shippuden, le jeu d'action du redoutable ninja, véritable tornade, revient sur PS3...
  • Affrontez de vrais adversaires en ligne et montrez au monde entier votre maîtrise des arts martiaux.
  • Découvrez d'innombrables bonus, explorez une flopée d'environnements inédits et plongez dans une histoire ahurissante.
  • Choisissez les compagnons d'armes adéquats parmi plus de 40 personnages pour relever les défis de cet univers manga fourmillant de boss dantesques à terrasser.
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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 21:52

architect

Tom Wills-Wright (WS Atkins)
The interior was designed by Khuan Chew, Design Principal of KCA International (London).

location

PO Box 74147 Jumeirah Beach Road, Jumeirah, Dubai, United Arab Emirates .

date

1994-1999

style

Postmodern

construction

321 m The Burj Al Arab is the world's tallest hotel. 5 stars*  No. of rooms 202
Antenna/Spire 321 m (1,053 ft) Roof 210 m (689 ft)
Top floor 200 m (656 ft) Floor count 60
Floor area 111,500 m² (1,2000,000 sq ft)
Elevator count 18

type

Hotel
 
 
  The world's tallest atrium
 
  A front on view of the Burj Al Arab Hotel. The disk near the top of the tower is a helicopter landing pad.
 
  The base of the atrium with water fountain
 
  One of the hotel suites
 
  Sunset
  the exterior (click images for larger versions)
 
 
 
 
 
 
  the interior (click images for larger versions)
 
 
 
 
 
 
The Burj Al Arab (Arabic: برج العرب, "Tower of the Arabs") is a luxury hotel in Dubai, United Arab Emirates managed by the Jumeirah Group and built by Said Khalil. It was designed by Tom Wright of WS Atkins PLC. At 321 metres (1,053 ft), it is the tallest building used exclusively as a hotel.[2] However, the Rose Tower, also in Dubai, which has already topped Burj Al Arab's height, will take away this title upon its opening in April 2008. The Burj Al Arab stands on an artificial island 280 metres (919 ft) out from Jumeirah beach, and is connected to the mainland by a private curving bridge. It is an iconic structure, designed to symbolize Dubai's urban transformation and to mimic the billowing sail of a boat.

Construction
Construction of Burj Al Arab began in 1994. It was built to resemble the sail of a dhow, a type of Arabian vessel. Two "wings" spread in a V to form a vast "mast", while the space between them is enclosed in a massive atrium. Architect Tom Wright said "The client wanted a building that would become an iconic or symbolic statement for Dubai; this is very similar to Sydney with its Opera House, or Paris with the Eiffel Tower. It needed to be a building that would become synonymous with the name of the country."

The architect and engineering consultant for the project was Atkins, the UK's largest multidisciplinary consultancy. The hotel was built by South African construction contractor Murray & Roberts.The hotel cost $650 million to build.

Features
Several features of the hotel required complex engineering feats to achieve. The hotel rests on an artificial island constructed 280 meters offshore. To secure a foundation, the builders drove 230 40-meter long concrete piles into the sand. The foundation is held in place not by bedrock, but by the friction of the sand and silt along the length of the piles.[5]

Engineers created a surface layer of large rocks, which is circled with a concrete honey-comb pattern, which serves to protect the foundation from erosion. It took three years to reclaim the land from the sea, but less than three years to construct the building itself. The building contains over 70,000 cubic meters of concrete and 9,000 tons of steel.[5]


Inside the building, the atrium is 180 meters (590 ft) tall. During the construction phase, to lower the interior temperature, the building was cooled by half-degree increments over a period of three to six months. This was to prevent large amounts of "condensation or in fact even a rain cloud from forming in the hotel during the period of construction." This task was accomplished by several cold air nozzles, which point down from the top of the ceiling, and blast a 1 meter cold air pocket down the inside of the sail. This creates a buffer zone, which controls the interior temperature without massive energy costs.[citations needed]

Burj Al Arab characterizes itself as the world's only "7-star" property, a designation considered by travel professionals to be hyperbole. All major travel guides and hotel rating systems have a 5-star maximum, which some hotels attempt to out-do by ascribing themselves "6-star" status. Yet according to the Burj Al Arab's official site, the hotel is a "5-star deluxe hotel". It is the world's tallest structure with a membrane façade and the world's tallest hotel (not including buildings with mixed use) and was the first 5-star hotel to surpass 1,000 ft (305 m) in height. Although it is characterized as the world's only 7-Star Hotel, several "7 Star" hotels are under construction. These include the Flower of the East under construction in Kish, Iran, The Centaurus Complex under construction in Islamabad, Pakistan and a complex planned for Metro Manila in the Philippines.

Exterior



The Burj Al Arab artificial island

The building design features a steel exoskeleton wrapped around a reinforced concrete tower. Notably the building is shaped like the sail of a dhow, with two "wings" spread in a V to form a vast "mast". The space between the wings is enclosed by a Teflon-coated fibreglass sail, curving across the front of the building and creating an atrium inside. The sail is made of a material called Dyneon, spanning over 161,000 square feet (15,000 m²), consists of two layers, and is divided into twelve panels and installed vertically. The fabric is coated with DuPont Teflon to protect it from harsh desert heat, wind, and dirt; as a result, "the fabricators estimate that it will hold up for up to 50 years."[9]

During the day, the white fabric allows a soft, milky light inside the hotel, whereas a clear glass front would produce blinding amounts of glare and a constantly increasing temperature. At night, both inside and outside, the fabric is lit by color-changing lights. During the period of mourning following the death of Sheikh Maktoum bin Rashid Al Maktoum in January 2006, the light show and some water features were turned off.

Near the top of the building is a suspended helipad supported by a cantilever. The helipad has featured some of the hotel's notable publicity events. Irish singer Ronan Keating shot his music video Iris on the helipad. In March 2004, professional golfer Tiger Woods hit several golf balls from the helipad into the Persian Gulf, while in February 2005, professional tennis players Roger Federer and Andre Agassi played an unranked game on the helipad, which was temporarily converted into a grass tennis court, at a height of 211 meters. The helipad has no borders or fences on the edges and if a player hit a winner the tennis balls would plunge down to the ground.[10][11]

Interior

The interior was designed by Khuan Chew, Design Principal of KCA International. Other projects by Khuan Chew include the Sultan of Brunei's Palace, Dubai International Airport, Jumeirah Beach Resort Development, Madinat Resort and much more.

The Burj Al Arab features the tallest atrium lobby in the world, at 180 meters (590 ft). The atrium is formed between the building's V-shaped span. The atrium dominates the interior of the hotel, and takes up over one-third of interior space. It can accommodate the Dubai World Trade Center building, which, at 38 stories, was the tallest building in Dubai from the late 1970s to the mid-1990s.

While the exterior of the Burj Al Arab is expressed in terms of ultra-modern sculptural design, the interior guest space is a compilation of lavish and luxurious architectural styles from both the east and the west. The hotel boasts 8,000 square meters of 22-carat gold leaf and 24,000 square meters of 30 different types of marble.

In the mezzanine lobby, a fountain creates a "three-dimensional Islamic star pattern."[12] Pointed arches throughout, found in one of the hotel’s three restaurants, corridors between guest rooms, and at the top of the atrium recall a classic Arabian architectural design form.

 
Rooms and prices

Despite its size, the Burj Al Arab holds only 28 double-story floors which accommodate 202 bedroom suites. The smallest suite occupies an area of 169 square meters (1,819 square ft), the largest covers 780 square meters (8,396 square ft). It is one of the most expensive hotels in the world. The cost of staying in a suite begins at $1,000 per night and increases to over $15,000 per night; the Royal Suite is the most expensive, at $28,000 per night

Suites feature design details that juxtapose east and west. White Tuscan columns and a spiral staircase covered in marble with a wrought-iron gold leaf railing show influence from classicism and art nouveau. Spa-like bathrooms are accented by mosaic tile patterns on the floors and walls, with Arabian-influenced geometries, which are also found elsewhere in the building.

Restaurants
One of its restaurants, Al Muntaha (Arabic meaning "Highest" or "Ultimate"), is located 200 meters above the Persian Gulf, offering a view of Dubai. It is supported by a full cantilever that extends 27 meters from either side of the mast, and is accessed by a panoramic elevator.

Another restaurant, the Al Mahara (Arabic "The Oyster"), which is accessed via a simulated submarine voyage, features a large seawater aquarium, holding roughly 35,000 cubic feet (over one million liters) of water. The tank, made of acrylic glass in order to reduce the magnification effect, is about 18 cm (7.5 inches) thick. The restaurant was also voted among the top ten best restaurants of the world by Condé Nast Traveler. They have recently hired acclaimed chef Kevin McLaughlin.

Reviews by architecture critics

Burj Al Arab during sunsetThe Burj Al Arab has attracted criticism as well as praise, described as "a contradiction of sorts, considering how well-designed and impressive the construction ultimately proves to be."[13] The contradiction here seems to be related to the hotel’s extreme opulence. "This extraordinary investment in state-of-the-art construction technology stretches the limits of the ambitious urban imagination in an exercise that is largely due to the power of excessive wealth." Another critic includes the city of Dubai as well: "both the hotel and the city, after all, are monuments to the triumph of money over practicality. Both elevate style over substance."[13] Yet another: "Emulating the quality of palatial interiors, in an expression of wealth for the mainstream, a theater of opulence is created in Burj Al Arab … The result is a baroque effect".[13] Sam Wollaston writing in The Guardian described the Burj as "...fabulous, hideous, and the very pinnacle of tackiness - like Vegas after a serious, no-expense-spared, sheik-over".


 
In ‘Al Manakh’ there are two projects from Dubai that keep appearing, without any argument why these buildings are so important. The first one is the Burj Al Arab hotel; the second one is the Dubai Towers complex that will be discussed later in this series.

In architectural history the word ‘prefiguration’ is an important one. In the case of major inventions there are always predecessors that point in a certain direction, ‘prefigure’ them, but do not take the idea yet as far as it will do later. Tube lighting was in the early twentieth century for instance prefigured by light bulbs put in rows behind translucent glass panels. Mies van der Rohe did designs like that, without actually having tubes yet, which would take that idea into adolescence.

The prefiguration of Dubai is the Burj Al Arab. It was the first project to take the step into the water. It is still a small step, a small island. But conceptually it meant everything; it opened up The Gulf for inhabitation. And just as the delirious New York used the functionalist argument of land-value to justify its densification, so does Dubai use the functionalist argument of beach-length to justify its extension into the sea. The argument is in the end not so important, what counts is the end-result.

Another prefiguration is the metaphor of the sail. It is an iconography that has a triple virtue; contextual (the hotel is sited on an island in the water), timeless (sailing has been around forever) and pointing to leisure (which works like a duck-building for a duck-restaurant). It is brilliant. Just one step further is the idea for an island in the form of a palm, and eventually a group of islands that echo the map of the world.

In ‘Al Manakh’ we also read that the concept of the Burj Al Arab was originally not developed by the architect W.S. Atkins, but by the architect Carlos A. Ott. In an interview with Todd Reisz the architect says he made sketches for the hotel, but forgot to sign them. When his contact with the client got fired, the displacement found drawings without a name, and then turned to W.S. Atkins to develop the idea further.

“My building was identical to Burj Al Arab, but a bit taller. Main concepts – building in the water, sail motif, a restaurant with an aquarium – were my ideas”, Ott says. At about the same time Ott designed a similar looking office building in Montevideo for ANTEL Communications. In the end Ott is the phantom father to the hotel, the anonymous sperm donor so to speak.

Now we also know that that the sail-iconography is an explicit one that has been there since the conception of the building. The back, facing the shore, reminds also to a roach, as Ott also notes.

It has been suggested that the front corner in combination with the meeting room in the sky secretly form a crucifix, a †. That would be a scandal in the Muslim-country, but it merely proves too much people have read Dan Brown. The horizontal line is just too narrow and placed too low to really sustain that suggestion.

With 28 stories the Burj Al Arab is not the highest building around. It is not the size of the building that makes a difference, but its form. It’s main invention and feature is the white exoskeleton. The strong and sleek frame with its enormous circular sweep transforms the building into a distinctive object. There is no building that tops this frame in beauty. Just magnificent.

The cantilevering meeting room and hovering UFO-like helicopter platform are the accessories to this composition, eloquently and very effectively showing off the luxuriousness of the hotel. It is the only 7-star hotel on earth.

The exterior is beautiful, but no show-off. Except for the two tiny clues to the wealth inside it is all very modest and decent. The interior however is a different story. It is a finite Maximalism:

- Maximum color
- Maximum relief
- Maximum form
- Maximum difference

The bright colors and sharply cut patterns just blow you away… Who made up this orgy? Does maximalism indeed equal the end of good taste, as Willem-Jan Neutelings has suggested? It seems like it.

I have also to admit that after looking at the images for some days now, I start to like parts of it. There is a cultural framework that excludes such a use of color. This might however in the future. Color is coming back. (Mark my words!)

Special thanks to www.eikongraphia.com 
 
Dubai's iconic building is a construction of superlatives. The world's tallest hotel (321 meters) is also popularly described as the world's only 7-Star hotel - although its formal rating is 5 Star Deluxe, the highest the international rating system offers.

Built on its own artificial island, the hotel can be reached by causeway (in one of its courtesy white Rolls Royces) or by helicopter, straight to its heliport cantilevered out from its top floor. (The heliport has also served as a grass tennis court for Andre Agassi and Roger Federer, and a golf green for Tiger Woods.)

Also extending from the top floor is the Skyview Bar, with sunset views over the Gulf, including the artificial Palm Jumeirah island and The World archipelago.

Inside, the superlatives mostly translate into extreme gaudiness, with gold leaf applied more for quantity than design. There is little subtlety in the decor of the communal entrance areas, with the exception of the dramatic larger-than-life aquaria lining the escalators (top-right picture).

The front (shore-facing) facade is constructed of two tiers of huge, steel 'X' trusses. Below these, full-width windows provide panoramic views from two levels of entrance lobby, unencumbered by structural support.

Above these first two levels, the facade outside of the trusses is made up of translucent white fabric stretched around the structural frame - the sail of the dhow that the building's shape is inspired by. During the day, this white wall glows to illuminate the full-height atrium (at 180 meters, the world's tallest). At night, a complex arrangement of changing projected lighting makes Burj Al Arab a changing beacon seen from outside, while providing a dramatic illuminated show seen from the atrium within.

On the opposite side of the atrium, the floors are organized around corridor 'galleries' that open onto the atrium space.

How to visit

As its web site describes it, "Burj Al Arab is located in the Jumeirah Beach area of Dubai, 15 km. from the main city centre and 25 km. from Dubai International Airport. It is well served by taxis and has its own fleet of 10 chauffeur driven Rolls-Royces. It stands proudly on a man-made island some 280m. offshore and is linked to the mainland by a slender, gently curving causeway."

To cross the causeway, however, you need a reservation at the hotel. Casual visitors are not admitted, and reservations - even for a meal - require almost as much advance notice as they do cash.

Even if you don't make it across the causeway, there are great views of the building from the shoreline, including the neighboring Jumeirah Beach hotel and Madinat Jumeirah, which are both also luxury hotels but physically more accessible.

Books and other web sites

Burj Al Arab's web site is at www.burj-al-arab.com.

The architect's personal web site, with interesting details on the building's design and construction, is at www.tomwrightdesign.com.

Thanks to galinsky.com.
 
World's Top Tennis Stars At Burj Al Arab
In preparation for the Dubai Duty Free Men’s Open, tennis legend, Andre Agassi and the world No. 1, Roger Federer, couldn’t resist the temptation to have a friendly knock about on the world’s highest tennis court, the helipad of Burj Al Arab, the world’s most luxurious hotel.

Both players are in Dubai to compete in the US$1 million Dubai Duty Free Men’s Open, which is the first round of the two-week Dubai Tennis Championships.

Click on the images to enlarge them.
 
 
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